Bertrand Belin
Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, Bertrand Belin fait partie de cette famille recomposée de la chanson dans laquelle on retrouve, librement associés, Bashung, Richard Hawley (le cousin anglais), Rodolphe Burger, ou encore Albin de la Simone. Alors que sort Persona, son sixième album, paraît Grands Carnivores, son troisième roman chez P.O.L. Il sera également au cinéma avec le film de Dominique Choisy, Ma vie avec James Dean, dont il signe la musique. Point d’orgue en ce début d’année riche en évènements, il se produira à l’Olympia en avril. Bertrand Belin est notre invité, il a donc choisi les œuvres de ce parcours : « un ensemble qui dessine une cartographie sensible et émotionnelle ».













# Découvertes



# One + one
J’associe un peu ces deux grands musiciens du XX au même titre que j’associe Chagall et Kandinsky sans raison particulière à part que j’ai du les découvrir à la même époque.



# Poser des questions



# Rêveries architecturales
J’attends de la musique, des rêveries en forme d’architecture avec des horizontales, des verticales, des profondeurs, des transparences…



