Suites pour violoncelle

J.S. Bach, Mstislav Rostropovitch - 1995
L’écriture d’un livre, c’est obsessionnel. Je travaille tous les jours sept jours sur sept, pendant au moins un an. Je lis aussi tous les jours. C’est une espèce de discipline. Pour Né d’aucune femme, j’écoutais les suites pour violoncelle de J.S. Bach interprétées par Mstislav Rostropovitch. Bach c’est un compagnon parfait parce qu’il est juste là pour accompagner l’acte d’écrire. Pour Grossir le ciel, c’était Anthony and the Johnsons. Le rythme du livre s’en ressent. Il y a cette voix qui est là, presque à se briser. Pour Plateau, c’était Lady in Satin de Billie Holiday. Pour Glaise, c’était également Anthony and the Johnsons, mais pas le même album.