Radio On
Christopher Petit - 1979
C’est pour moi l'archétype du film sur la new wave ; en noir et blanc, tourné dans des villes désertées, en ruines, avec Kraftwerk en musique de fond. Il y a notamment cette dernière scène, qui est une des plus belles scènes de fin que je connaisse, qui est d’une tristesse incroyable ; la caméra est dans un hélicoptère qui survole une ville bombardée - ou jamais reconstruite - sur le morceau “Ohm sweet ohm” de Krafwerk. C’est un des rares films cold wave que je connaisse. A l’époque c’est le film dans lequel j’aurais voulu être. Aujourd’hui ce serait plutôt The Party de Peter Sellers !
