Take no prisoners

Lou Reed - 1978
Je n’ai jamais idolâtré personne. Les critiques ont le cœur sec et le cerveau irrigué. Mais je me reconnais depuis l’âge de 13 ans un gros faible pour Lou Reed. J’ai eu une chance dans la vie : découvrir Lou Reed avant le Velvet Underground, remonter le fleuve au lieu de le descendre. Aux amateurs, je conseille ce double live dont Mike Jagger lui-même considérait qu’il était l’un des meilleurs live au monde, sinon le meilleur.