Les Corrections
Jonathan Franzen - 2001
La lecture de Don DeLillo m’a assez vite conduit vers ceux qui gravitent un peu dans le même cercle, comme Franzen avec Les Corrections que je mets au même endroit d’absolue précision de la découverte des êtres. C’est ce qui me porte, la sensation de découvrir des personnages et de les découvrir en profondeur. Globalement, le style, en cinéma comme en littérature, m’intéresse beaucoup moins que la sensation de plonger dans la complexité des personnages. De me dire, là je vois la construction et elle est fabuleuse parce que ces êtres sont tout aussi complexes que ceux qu’on peut rencontrer dans la vraie vie. Moon Palace de Paul Auster aussi, a été une référence à cet endroit-là.
