Le dernier tango à Paris

Bernardo Bertolucci, Maria Schneider, Marlon Brando - 1972
C’est l’une des histoires d’amour les plus désespérantes qu’il m’ait été donné de voir justement parce qu’il n’y a pas d’amour. Juste un désir ou un non désir de corps. De viande. De beurre. C’est une chute magnifique. Un chant désespéré. Bertolucci est un cinéaste important, dérangeant et libre. Dans Le dernier tango à Paris, Maria Schneider exhibe une formidable toison pubienne. Je l’évoque avec gourmandise dans La première chose qu’on regarde à l’heure où la dictature du porno impose l’épilation totale.