C’était mon frère…
Judith Perrignon - 2009
Judith Pérignon écrit dans les « Remerciements » de C’était mon frère : « J’ai imaginé, je n’ai pas inventé. » Nous sommes avec Théo, nous découvrons au fur à mesure ses rapports avec sa mère et ses sœurs, jusqu’à cet épisode : « Hier soir j’ai proposé à mes sœurs ainsi qu’à mon beau-frère, de signer une lettre qui fait de moi l’unique héritier de Vincent. J’ai dit que je veillerai à protéger ses œuvres, et combien je veux les faire connaître. Ils m’ont donné leur accord avec beaucoup de détachement. » Les apparences sont trompeuses : ce n’est pas Théo qui aidait Vincent à vivre, c’est l’inverse. Ils vécurent une grande histoire d’amour fraternel que recouvre aujourd’hui le lierre sur leurs tombes à Auvers-sur-Oise.
