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9 mai 2014
Peut-être est ce le fait d’avoir été isolé si longtemps sur cette île inabordable, ou bien la faute à une météo qu’on qualifiera d’ingrate, mais force est de constater qu’il peut suinter de la musique anglaise une sorte de mélancolie toute britannique. Pas une franche tristesse (quoique parfois...) mais un état légèrement dépressif. Un peu comme ces gens qui vous disent que ça va en baissant la tête un petit sourire gêné aux coins des lèvres. Dans ce registre, Damon Albarn est un prétendant au titre suprême. Mais quel charme !